Après une semaine de vacances passée au chalet de mon frère, avec deux enfants en bas âge, je reviens avec ma petite théorie personnelle.

Je vous rappelle nombre, genre et âge de mes enfants :
Fillette : 2 ans et demi (en passant, je vous parlais de ma toddler et de son sommeil, ici.)
Garçon : 7 mois

Ma théorie, la voici :
Quand vous prévoyez de partir, tout quitter — routine, garderie, maison — d’emblée, pensez à inclure quatre jours additionnels à vos vacances!

Ajoutez ce padding pour vous assurer de décompresser : en entamant vos vacances, ainsi qu’avant votre retour au travail. Ce matelassage ne saurait qu’ajouter de l’agrément à votre séjour.

Ma spéculation repose sur les faits suivants :
1. La première nuit à destination sera de la grosse m**de.
Disons-le : les petits se réveillent, les adultes se réveillent aussi. Nouvel endroit, bruits différents, confort variable, odeurs nouvelles, cris d’oiseaux, les murs qui craquent, etc.

2. La première nuit de retour à la maison doit aussi être mentionnée pour son degré excrémentiel.
Je teste cette théorie vivante depuis maintenant deux ans et demi et c’est repeat à chaque fois nous dormons à peine.

(J’ajoute ici le point 2.2 : Chat. Car le chat est un animal de routine et nous fera le coup des 1 000 réveils à notre retour!)

(J’ajoute aussi le point 2.3 : Si vous prenez vos vacances près du solstice d’été ou au moment de la pleine lune, faites attention! Combine both, and die!)

Tiens, tes vacances!
Crédit : Giphy

Je dois tout de même faire une nuance pour ceux qui liront ce billet : je l’avoue, je ne suis pas une grande voyageuse. Je suis plutôt du type « bien chez moi ». Donc, si vous ne vous sentez pas concerné(e)s par ma théorie du 1 + 2 = 4 (oui, oui!), je vous trouve bien heureux!

Suite à ma confession, je me pose des questions. Suis-je au cœur de ma propre théorie? Est-ce que mon fameux stress-du-départ a été transmis à ma progéniture? Ma over-planification et mon désir de confort seraient-ils à la base de cet enjeu?

Ce que je sais, c’est qu’il faut que je garde en tête cette fameuse théorie, car quand il me vient l’envie d’oublier ces données, je me trouve toujours un peu perplexe, voire même un brin pissed-off à nos débuts et fins de séjours!

Allez, bonnes vacances!
REPOSEZ-VOUS!

Avez-vous des conseils à partager pour adoucir les vacances?