Cette année, TPL Moms vivait son Terrible Two! Un peu comme un enfant, on a vécu quelques crises, mais ça va de mieux en mieux. On fait presque nos nuits. On apprend à être propre et on a pas trop vécu d'épidémies de gastro. 

On a dépassé la barre des 40 000 fans sur la page Facebook, ce qui nous fait vraiment plaisir puisque tous nos fans sont des fans organiques et acquis de façon légale. 

Merci de nous suivre et de faire en sorte que notre site a du succès! Voici nos stats de l'année : 4 338 396 sessions, 1 486 347 utilisateurs, 7 867 208 pages vues. 

Et voici les dix articles les plus lus de 2016 : 

10. Déjà neuf ans sans toi aujourd'hui de Barbara Bouchard avec 23 466 pages vues. 

« Le 11 janvier, il y a neuf ans aujourd’hui, à 2 h 30 du matin, j'ai dit adieu — ou au revoir, qui sait — à ma fille, notre fille. À celle qui m'a donné le titre de maman. À celle qui a été la première à me donner ce nom si doux et fort à la fois. Neuf longues années à ne plus la voir ni l'entendre. À ne plus pouvoir poser mon nez dans son petit cou qui sentait trop bon. À ne plus pouvoir l’écouter chanter ou la regarder, malhabilement, danser comme elle aimait tant le faire. »

9. Tu n'auras jamais 16 ans de Annie-Pier Couture avec 23 705 pages vues. 

« Tu avais 15 ans. Tes parents sont entrés dans la salle où se murait un silence de mort. Là où chaque humain portait une part de culpabilité face à ce magnifique adolescent qui avait commis l’irréparable. Parce que nous avions échoué. Comme adultes. Comme société. Nous t’avons laissé croire que le suicide était une option. Une solution. »

8. Bébé dort? Top 5 des bruits à proscrire de Marie-Pier G. avec 23 816 pages vues.

« Dans le manuel d’instruction de bébé (n'importe quoi), il est recommandé de ne pas se priver de faire du bruit lors des siestes, de laisser jouer de la musique dans la pièce principale de la maison, de discuter, d’écouter la télé, etc. Le but est d’habituer bébé à dormir avec des bruits ambiants. De cette façon, le parent peut continuer d’avoir une vie trépidante pendant les siestes, genre faire la vaisselle, sans crainte de réveiller sa progéniture. »

7. Coudonc, suis-je en train de vivre la crise de la trentaine? de Marie-Michèle Garneau avec 24 810 pages vues.

« Ce n’est pas que je freak de vieillir. Je trouve même que c’est une chance et un privilège de se réveiller chaque matin. C’est plutôt que je ne sais plus trop où me garrocher dans la vie. Qu’est-ce que j’aime, qu’est-ce que j’ai envie de faire maintenant qu’on est devenus "ensemble", maintenant que je suis un tout. Comment arriver à profiter de la maternité en retrouvant des désirs, des envies, des projets personnels, tout en assurant la sécurité, les besoins et le bonheur de tous? Et je le sais, je suis privilégiée juste de pouvoir me poser la question. »

6. Quand faire l'amour est un fardeau de Annie Nonyme avec 25 636 pages vues.

« Elles évoquaient toutes des raisons différentes, mais pour la plupart d’entre elles, la principale cause du manque d’olé olé dans leur vie, c’était la fatigue. Pourquoi faire l’amour quand je pourrais dormir une demi-heure de plus? Faut faire les préliminaires, l’acte en soi, puis après se laver la région ou le body au complet. Ça prend du temps et de l’énergie qu’elles n’avaient pas nécessairement ou qu’elles préféraient mettre ailleurs. »

5. Faire des bébés, les deux doigts PAS dans l'nez! de Vicky Côté avec 28 712 pages vues. 

« Maintenant, tu pleures chaque fois que tu es menstruée. Tu fais l’amour "parce qu’il le faut". Tu es témoin du bonheur de ceux qui, comme toi, veulent être parents et pour qui ça fonctionne tout de suite. Tu partages leur joie, mais avec cette jalousie cachée parce que "maudit que tu aimerais ça que ce soit toi pis pas eux". Y’a ceux (et c’est là que le bât blesse) qui n’ont rien décidé et pif paf, bébé est en route. Pourquoi c’est pas nous? »

4. Les 10 choses qu'on ne m'avait pas dites sur l'accouchement et les mois qui suivent de Carolane Baribeau avec 28 788 pages vues.

« Suis-je la seule qui n'avait jamais entendu parler de ça? Pour les ignorants comme moi, en gros, l'infirmière ou la sage-femme effectue un massage de l'utérus (de l'extérieur, je vous rassure) pour l'aider à expulser les débris et les caillots. Je venais pourtant tout juste d'accoucher et de me faire recoudre, sans aucune anesthésie. Je n'ai quand même pas pu m'empêcher de grimacer sous la douleur, pendant qu'elle enfonçait ses poings dans mon ventre et que je sentais des caillots me « popper » entre les jambes. Sorry pour l'image, mais c'est vraiment une chose que j'aurais aimé savoir AVANT d'accoucher. »

3. Mon deuil de la maternité de Vicky Côté avec 38 650 pages vues.

« Je croise des bedaines porteuses de vie et j’ai un gros pincement au cœur. Une jalousie insidieuse s’installe en moi, malgré moi. Je les envie parce que je ne me suis jamais sentie aussi femme que lorsque j’étais enceinte. Mon corps changeait. J’avais des courbes de femme. Je me sentais sexy. Ce sentiment de pouvoir qui nous habite parce que l’on fabrique, pendant 9 mois, un être humain, y’a rien de plus puissant que ça. »

2. Les commentaires à ne pas dire à une mère en congé de maternité qui se lève la nuit de Annie Nonyme avec 41 513 pages vues.

« Il y a peut-être le mot "congé", mais aussi (et surtout) "maternité" dans "congé de maternité". Non, je ne me prélasse pas au bord d’un spa pendant des mois. Je m’occupe à temps plein d’un être humain. D’une petite chose qui me jase – ou me hurle – ses besoins. Qui peut chier trois fois de suite dans sa couche ou sur moi. Qui peut dormir deux heures de suite ou juste dix minutes, et c’est une maudite surprise chaque jour! »

1. Avoir un fils de Myriam Lafrenière avec 42 401 pages vues. 

 « Mon fils à moi est un cliché dans le genre garçon. Il a une passion dévorante pour les véhicules, pour le bruit, pour les filles, pour moi. Vraiment. Il a trois ans et sa journée idéale ce serait d'être entouré de filles sur un chantier de construction avec des bulldozers et des marteaux-piqueurs. En tenant ma main à moi, bien sûr, parce qu’il est au sommet de sa phase œdipienne. Je le sais parce qu'il me dit des choses comme  "Maman, je t'aime... plus... que moi". »