Voici d'autres petits trucs pour réduire vos déchets et votre consommation!

5. Faire des épiceries zéro déchet
Des boutiques d’aliments en vrac, il y en a de plus en plus. Il suffit d’apporter des contenants propres et de lire les étiquettes de prix. On doit s’habituer à « comprendre » les prix au poids, parce que parfois, ça peut surprendre. Mais généralement, selon mon expérience, en tout cas, acheter en vrac est économique. Et écologique. On achète les quantités dont on a besoin, donc pas de gaspillage!

À l’épicerie, on regarde les emballages et on priorise le carton et le verre aux sacs en plastique non recyclables (pour les pâtes alimentaires, par exemple). Si on achète des couches ou des lingettes humides, on les prend en grosse quantité, pour éviter les petits emballages inutiles.

On apporte évidemment nos sacs d’épicerie réutilisables, mais aussi nos sacs à fruits et légumes. On en trouve des colorés, de grosseurs variées, et on demande aux enfants de choisir le bon sac pour chaque aliment (ça les occupera un peu!).

6. Acheter des articles usagés
On le sait bien, nos petits, ils ne resteront pas petits très longtemps. Ils porteront leur bel ensemble tout neuf une fois, voire deux. Faites un tour à la friperie, vous ferez de jolies trouvailles! Comme c'est le cas pour les couches lavables, il en existe qui se spécialisent dans les articles pour bébés. De vraies cavernes d’Ali Baba! Ça vaut aussi pour tous les jouets, bébelles, bidules pour bébés qui engorgent la maison. Une marchette usagée fera parfaitement l’affaire! Pour ma part, j’ai la chance d’avoir un grand frère père de trois garçons… Disons que je compte sur les doigts d’une main (peut-être de deux) les fois où j’ai acheté des trucs neufs.

7. Repenser les emballages
Dans la cuisine, il est parfois difficile d’éviter les emballages, comme la pellicule transparente (Saran Wrap) et les sacs Ziploc, mais aussi les « papiers », du genre moules à muffins, à pains, papier parchemin, etc.

Il existe toutes sortes de solutions pour venir à bout de ces envahisseurs. Par exemple, j’ai déniché du papier parchemin lavable et de la pellicule transparente lavable et biodégradable, je lave les poches de lait en plastique pour les réutiliser (il existe aussi des pochettes de type Ziploc en tissus lavables pour les lunchs), je graisse mes moules avec de l’huile, j’emballe mes restants dans des contenants de verre au lieu des sacs en plastique, je n’achète plus de papier essuie-tout et je me débrouille avec des linges à vaisselle.

Mais surtout, et par-dessous tout, il importe de revoir nos habitudes de consommation et d’arrêter (ou, du moins, de diminuer) le gaspillage.

Commençons par trimballer un thermos pour notre café quotidien, au lieu de le prendre dans une tasse jetable… ce petit geste tout simple est déjà grand!