Si je peux un jour être une influenceuse spécialisée en pantoufles, je vais avoir réussi à atteindre un standing qui m’intéresse! Forte de mon expérience et de mes petits petons bien frileux, je me suis fait offrir de tester une compagnie suisse qui s’appelle Baabuk, et qui fait des pantoufles de type valenki depuis peu. La compagnie, qui se qualifie de start-up, est donc nouvelle dans le monde du confort. Même si c’est une nouvelle compagnie, elle a désir de faire bien les choses.
 
Si vous ne savez pas ce que sont les valenki, n’ayez crainte, c’est un peu normal comme c’est une sorte de bottes feutrées qui aidaient les paysans russes à garder leurs pieds au chaud depuis des centaines d’années. Bien que c’était au départ pour les classes supérieures, les bottes qui pouvaient se porter autant à l’intérieur qu’à l’extérieur se sont rapidement démocratisées pour tous. Normal, comme ça va jusqu’à -40.
 
Baabuk a décidé de poursuivre la méthode traditionnelle qui nécessite plusieurs étapes, et surtout beaucoup de laine. Ça prend un demi-kilo de laine par paire de chaussons. Le travail derrière les paires demande de recueillir la laine, de concevoir le patron pour que la paire soit faite d’une seule pièce et de faire le feutrage (pour avoir déjà essayé d’en faire, c’est vraiment fastidieux). Toutes les paires sont ensuite lavées pour leur permettre de rétrécir de 30 %. Elles sont ensuite battues pour leur permettre de devenir étanches, puis elles sont séchées pendant deux jours et mises aux couleurs de Baabuk!
 
Pour avoir testé les pantoufles cette semaine au bureau, je trouve qu’elles lookent vraiment (surtout avec la couleur que j’ai reçue!) et qu'elles sont vraiment chaudes. J’ai été super étonnée de voir comment elles régulent la température de mes pieds. Comme c’est de la laine, c’est aussi super bon si vous puez des pieds! Parlez-moi d’un avantage! Je vais les garder au bureau comme le plancher est super froid, donc vous pourrez les voir dans mes #OOTDTPL!
 
Pour plus d’info, vous pouvez aller sur le site, juste ici.

Baabuk : entre sabots et pantoufles

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